Le découpage en six livrets correspond au découpage effectué dans la pièce.

Chaque livret est dans un papier différent.

 

Le texte du narrateur et de novecento occupent respectivement la moitié gauche et la moitié droite de la page, les autres personnages changeant à chaque livrets. La page est donc divisée en plusieurs colonnes dans lesquelles les textes des personnages viennent prendre place. La typographie est travaillée selon les intonations et le rythme joués par le comédien.

La feuille reliant tous les livrets ressemblant à une partition de piano mécanique donne également la clé de lecture, les découpes indiquant les zones de textes correspondant aux divers personnages.

 

Enfin les images sont issues de plusieurs représentations, publics ou privées, puis retravaillées pour qu'elles ne soient que en valeur de blanc et de noir, sans nuances de gris. Ce choix d’impression des images et du texte correspond à un dialogue où le personnage de Novecento parle de la beauté des touches noires et blanches du piano, et de l’épanouissement de chercher toutes les possibilités dans cette contrainte.

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